Hier après-midi, par une belle journée, avec toute une marmaille à distraire, le zoo fut une destination de choix. Ainsi, avec un an de retard, j'ai enfin vu les fameuses girafes du Lunaret pour lesquelles j'avais fait tout un foin, allant jusqu'à consacrer un cycle d'articles à l'animal.
D'ailleurs, allez savoir pourquoi, un des messages les plus consultés de ce blog demeure Un Jour, j'ai nourri la girafe. Avant l'éventuelle évocation de cet autre souvenir animalier marquant, Un jour, j'ai touché la corne du rhinocéros, hier après-midi, j'ai pas mal photographié les rhinos.
Que vient faire un rhinocéros dans un blog consacré à la musique ? Simplement mon incroyable surprise d'avoir réussi cette photo étonnante où, dans sa course, il flotte au-dessus du sol. Coup de bol, je ne vais pas mentir. C'est bien involontairement que la photo s'est déclenchée à cet instant précis. Elle illustre ce qui distingue la course de la marche, ce moment où plus aucune patte, ou aucun pied, ne touche le sol. Bien sûr, si j'avais voulu saisir cet instant, je n'y serais jamais parvenu, surtout avec un de ces appareils numériques basiques dont le déclic a toujours un coup de retard, toujours à la traîne de la photo que vous visiez.
Pour rappel, notre série consacrée aux girafes nous permit de présenter son lourd ancêtre, d'apprendre que sa viande et son lait sont cashers, que les créationnistes voient en elle la manifestation de l'intelligent design et qu'une approche "goetho-phénoménologique" de la girafe révèlerait qu'elle a le cou... court...
- Le cou de la girafe est... court (une approche goetho-phénoménologique du sujet)
- La Girafe ? Casher indeed !
- Le cou de la girafe, son cœur lourd et le créationnisme...
- Le cou de la girafe est... court (une approche goetho-phénoménologique du sujet)
- La Girafe ? Casher indeed !
- Le cou de la girafe, son cœur lourd et le créationnisme...
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